L’homme n’a qu’une pensée claire à la fois.

Ce que je voudrais retenir ici c'est le fait que la perception par l'homme du réel extérieur n'est pas aussi simple et sûre qu'on le croit même dans les milieux scientifiques. Il existe des limites certaines, mais difficiles à déceler, presque impossibles à rendre conscientes à l'objectivité de nos images du réel.
lire aussi l’R de Garches

(Ce que je crois, 1981, p. 51)