jean fourastie
Albert Merlin, vice président de l'institut PRESAGE se demande pourquoi le pessimisme des français ; dans une analyse très fourastienne, il l'attribue au fait que : nos compatriotes pratiquent moins l'observation des faits que la connaissance par oui dire, d'où la persistance d'idées fausse, dont la première, "c'était mieux ailleurs". Pour la contrer, il reprend le texte de Jean Fourastié qui confronte la vie pénible de Marie, née au début du siècle avec celle de Séverine, jeune fille d'aujourd'hui (pour lire le texte de Fourastié, cliquez ici). L'analyse de l'impact ds chocs venus de l'extérieur, et celui des inégalités complètent cet article.
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Paru dans La Croix du 1er juillet 2014