jean fourastie
Dans cette chronique du Figaro, Jean-Pierre Robin met en cause la manière dont on parle de « crise ». Il rappelle que Jean Fourastié a nommées « Trente glorieuses » les années de l’après-guerre et qu’il en annonçait la fin, car la croissance ne peut être indéfinie.
Pour lui, il est vain d’attendre la fin de la « crise » qui ne fait peut-être que commencer. Rappelons que Jean Fourastié n’était pas adepte de la théorie des cycles, et qu’il annonçait, dès 1949, une période « transitoire » de forte croissance, suivie d’une reprise de la stabilité, avec un niveau de vie bien supérieur. Cette période de stabilité est-elle en train de s’amorcer ?
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